Depuis la semaine dernière, je fais du ménage dans mes vieilles bébelles et papiers d'école ramassant la poussière dans mes armoires et garde-robe. J'ai découvert de petites perles que vous avez pu admirées via mon compte twitter. Si jamais vous n'étiez pas au rendez-vous, en voici quelques exemples :
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Donc hier, je continuais mon ménage et je suis tombé sur mon cahier de textes de secondaire 5. En le feuilletant, je déniché une production écrite que j'ai réalisée au cours de l'année dont le thème devait être l'Halloween ou quelque chose du genre (à vrai dire, j'en ai aucune idée, mais mon texte parle de l'Halloween). Je vois ma note : 47/50, dont 20/20 pour la cohérence. Pas si pire, donc je l'ai relu. Cependant, en arrivant à la fin, j'ai un petit questionnement... Je ne comprend pas mon dénouement. Alors, je me suis dit que vous, chers internautes, seriez peut-être plus bright que moi et comprendriez. Le voici :
Drôle d'Halloween
Ce n'est qu'aux alentours de 20h30 que Faustin aperçoit un petit Dracula déambulant dans la rue avec sa maman. En voyant la citrouille tout aussi bien éclairée que la maison, l'enfant entraîne sa mère sur le balcon de l'agent du diable. À la suite d'un enchaînement de craquements dus au bois vieilli servant d'entrée à la maison, un "ding! dong!' retentit dans la demeure. Faustin se lève machinalement de sa chaise berçante, tout aussi bruyante que son balcon, et va ouvrir la porte. La mère sur les talons, Dracula montre ses crocs en demandant un présent pour remplir son sac déjà bien garni de bonbons. La goutte de sueur au front, le vieil homme tend l'orange au petit garçon qui la saisie à toute vitesse sans prendre le temps de le remercier. Il prête l'agrume à sa mère,qui s'empresse de la mettre sous son nez, probablement pour la sentir. À l'instant même où la pelure effleure ses narines, la figure de la dame devient blanche comme neige et elle s'évanouit. Le garçon, pris de sanglots, se laisse tomber sur le sol, saisit l'orange encore retenue par les doigts de sa mère, la croque avec ses dents de vampire e tombe également à la renverse. Faustin, ébahi, regarde les deux humains étendus sur le dos, les yeux ouverts mais tout è fait inconscients. Complètement abasourdi par ce qui vient de se produire, il s'empare de l'orange, puis en prend une grande bouchée en ignorant la pelure. Malheureusement pour lui, ce n'est pas ce poison qui achèvera son calvaire en enfer...
Alors, vous avez une idée ?